Georg Lukács, "La lumière intérieure est l’illumination la plus terne".
Ce texte est la traduction de l’essai de Georg Lukács :
„Das innere Licht ist die trübste Beleuchtungsart“ (1943).
Il occupe les pages 129 à 133 du recueil : Georg Lukács, Schicksalswende, [Tournants du destin] Aufbau Verlag, Berlin, 1956. Cette édition se caractérise par une absence complète de notes et de références des passages cités. Toutes les notes sont donc du traducteur.
Cet essai était jusqu’à présent inédit en français.