Georg von Lukács, À la croisée des chemins (1912)

Publié par Jean-Pierre Morbois

Cet article a été écrit à l’occasion d’une exposition à Budapest du peintre Károly Kernstok, et il réagit aux vives controverses, surprenantes à première vue, qu’elle suscite. Et Lukács pointe la divergence fondamentale (d’où le titre Les chemins se sont séparés) qui habitera toute sa vie de théoricien de l’art, quant à la fonction de l’art.

Celui-ci a-t-il simplement pour but de décrire les apparences superficielles des choses, de susciter des impressions, des sentiments, des émotions, ou, comme le pensent Kernstock et ses amis, d’« exprimer l’essence des choses ».

On retrouve toute la problématique de Reportage ou figuration, de Raconter ou décrire, ainsi que de l’Esthétique.

Publié dans Textes de Lukacs

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